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Je ne pleure plus...

Photo du rédacteur: Laurence SanchezLaurence Sanchez
Maintenant, je ne pleure plus...

Maintenant, je ne pleure plus... Je me plains.


C’est bien plus qu’un simple appel de l’enfant, les pleurs d'attachement. ✨


C’est cette réponse émotionnelle primordiale qui, lorsqu’elle est incomplète ou ignorée, peut laisser des traces profondes.


Un bébé qui pleure ne demande pas seulement de l’attention, il cherche à créer une connexion, à s’assurer que quelqu’un est là pour l’aider à apaiser son inconfort.


Lorsqu’aucune réponse adaptée n’est donnée, ces pleurs deviennent des blessures invisibles, parfois emportées jusqu’à l’âge adulte.


Ils façonnent une partie de notre être, nourrissant cette impression que l’on ne peut compter que sur soi-même, que demander de l’aide est inutile.


Quand un enfant apprend, par répétition, que ses pleurs n’obtiennent pas de réponse ou une réponse inappropriée, il intègre l'idée qu'il ne peut pas compter sur les autres pour se sentir en sécurité.


Comportements d'isolement, difficulté à demander de l’aide, ou encore survie émotionnelle... Ces pleurs "tronqués" sont comme des appels jamais écoutés, résonnant encore longtemps après l’enfance.


Et parfois, cela se manifeste dans nos comportements quotidiens...


Vous savez, ces moments où, en rentrant du travail, on râle, on se plaint de ce chef qui ne nous écoute jamais.


En réalité, ce sont peut-être des pleurs d’attachement d’adulte, une façon de réclamer du soutien, de chercher du réconfort.


On ne pleure plus comme un enfant, mais on se plaint, on espère que quelqu'un - souvent notre compagnon ou compagne - puisse combler ce besoin que l’on n'a pas appris à exprimer.


🌿 Il est toujours temps d'offrir à ces parts de nous-mêmes, longtemps ignorées, la douceur et la sécurité qu’elles méritent.


Vous pouvez toujours réécrire votre histoire. Vous avez le droit de ressentir, de demander et de vous ouvrir à vous-même et à la relation.


Pas à pas, petit à petit. 🌸



Un bébé qui pleure ne demande pas seulement de l’attention, il cherche à créer une connexion, à s’assurer que quelqu’un est là pour l’aider à apaiser son inconfort.


Lorsqu’aucune réponse adaptée n’est donnée, ces pleurs deviennent des blessures invisibles, parfois emportées jusqu’à l’âge adulte.


Ils façonnent une partie de notre être, nourrissant cette impression que l’on ne peut compter que sur soi-même, que demander de l’aide est inutile.


Quand un enfant apprend, par répétition, que ses pleurs n’obtiennent pas de réponse ou une réponse inappropriée, il intègre l'idée qu'il ne peut pas compter sur les autres pour se sentir en sécurité.


Comportements d'isolement, difficulté à demander de l’aide, ou encore survie émotionnelle... Ces pleurs "tronqués" sont comme des appels jamais écoutés, résonnant encore longtemps après l’enfance.


Et parfois, cela se manifeste dans nos comportements quotidiens...


Vous savez, ces moments où, en rentrant du travail, on râle, on se plaint de ce chef qui ne nous écoute jamais.


En réalité, ce sont peut-être des pleurs d’attachement d’adulte, une façon de réclamer du soutien, de chercher du réconfort.


On ne pleure plus comme un enfant, mais on se plaint, on espère que quelqu'un - souvent notre compagnon ou compagne - puisse combler ce besoin que l’on n'a pas appris à exprimer.


🌿 Il est toujours temps d'offrir à ces parts de nous-mêmes, longtemps ignorées, la douceur et la sécurité qu’elles méritent.


Vous pouvez toujours réécrire votre histoire. Vous avez le droit de ressentir, de demander et de vous ouvrir à vous-même et à la relation.


Pas à pas, petit à petit. 🌸


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Laurence Sanchez

Thérapeute & Clairvoyante

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